D’après une légende, le cygne, sentant venir sa mort, chanterait une dernière fois, et de la manière la plus merveilleuse qu’il n’ait jamais faite. Le cygne porte aussi le nom de Cygne muet.
Le philosophe grec Socrate en parle au moment de mourir, selon Phédon de Platon. Cette légende est infirmée par Pline l'Ancien dans son oeuvre L'Histoire naturelle : "On dit qu'au moment de mourir les cygnes font entendre un chant lamentable; erreur, je pense : c'est du moins ce qui résulte pour moi de quelques expériences. olorum morte narratur flebilis cantus, falso, ut arbitror, aliquot experimentis."
Le philosophe grec Socrate en parle au moment de mourir, selon Phédon de Platon. Cette légende est infirmée par Pline l'Ancien dans son oeuvre L'Histoire naturelle : "On dit qu'au moment de mourir les cygnes font entendre un chant lamentable; erreur, je pense : c'est du moins ce qui résulte pour moi de quelques expériences. olorum morte narratur flebilis cantus, falso, ut arbitror, aliquot experimentis."
Pline l’Ancien, L'Histoire naturelle, livre X, chapitre XXXII.
Le madrigal The silver swan d’Orlando Gibbons reprend la légende:
The silver Swan, who living had no Note,
when Death approached, unlocked her silent throat.
Leaning her breast upon the reedy shore,
thus sang her first and last, and sang no more:
"Farewell, all joys! O Death, come close mine eyes!
"More Geese than Swans now live, more Fools than Wise."